A propos de ce blog

C'est durant ma petite enfance que j'ai découvert l’œuvre de Georges Brassens, grâce à mon père qui l’écoute souvent durant les longs trajets en voiture. Sur la route des vacances estivales, j'ai entendu pour la première fois Le Petit Cheval alors que je n'avais que 4 ans. C'était en août 1981. Au fil des années, le petit garçon que j'étais alors a découvert bien d'autres chansons. Dès l'adolescence, Georges Brassens était ancré dans mes racines musicales, au même titre que Jacques Brel, Léo Ferré, Barbara et les autres grands auteurs-compositeurs de la même génération. M’intéressant plus particulièrement à l’univers du poète sétois, je me suis alors mis à réunir ses albums originaux ainsi que divers ouvrages et autres documents, avant de démarrer une collection de disques vinyles à la fin des années 1990. Brassens en fait bien entendu partie. Cet engouement s’est accru au fil du temps et d’évènements tels que le Festival de Saint-Cyr-sur-Morin (31/03/2007) avec l’association Auprès de son Arbre. À l’occasion de la commémoration de l’année Brassens (2011), j’ai souhaité créer ce blog, afin de vous faire partager ma passion. Bonne visite... par les routes de printemps !

J'ai rendez-vous avec vous

"Chaque fois que je chante une chanson, je me fais la belle." Georges Brassens

vendredi 20 septembre 2019

Ȼôme nous transporte...

C'est Pierrick Vivarès qui, en trio, inaugurera le nouveau programme des concerts à Bois Baudry (77). Ȼôme - c'est le nom qu'il utilise depuis l'année 2016 - a publié deux albums: Transports en commun (2013) et Point Némø (2018) que l'on peut retrouver chroniqués par Michel Kemper sur le site nosenchanteurs.eu:

- Ce Pierrick Vivares qui nous transporte…
- Ȼôme : la métamorphose de Pierrick Vivarès

Côme désoriente, offrant à nos oreilles et nos idées une forme de paradoxe. Quand l’habillage sonore électrique emprunte résolument aux sons pop rock, et que le banjo comme la "lap-steel" guitar ne sont pas loin de nous entraîner vers la country, résolument dansante, dynamique, énergique, les textes, eux, ne cessent d’approfondir un cheminement intime, très intérieur, profond…  Au risque de l’obscur, du mystérieux, de l’impénétrable…

Rendez-vous le samedi 28 septembre à 20H !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire