"Cela n'a rien à voir avec les aventures tragi-comiques du même Fernandel dans La Vache et le Prisonnier, d'Henri Verneuil. L'air de Provence ferait plutôt penser à un conte cinématographique de Marcel Pagnol ; et, dans l'odyssée de l'homme et du cheval à travers le Lubéron, les Alpilles, la Crau et la Camargue, ce sont la vie et la liberté du cheval qui doivent être préservées. Henri Colpi a réalisé cela avec délicatesse, tendresse et humour. On est touché par la vérité des personnages et des paysages, par l'amitié d'Antonin avec l'animal. Une oeuvre chaleureuse qui exalte l'humanisme et la nature."
Ainsi s'exprimait Jacques Siclier dans Télérama le 11/11/2003, au sujet du dernier film tourné par Fernandel: Heureux qui comme Ulysse (1970*). Réalisé par Henri Colpi d'après la nouvelle de Marlena Frick, The Homecoming (1964), il a été mis en musique par Georges Delerue. La chanson-titre, souvent attribuée à Georges Brassens par le grand public, est en réalité née de la plume de Colpi, qui se trouve être un ami d'enfance du poète sétois.
Ainsi s'exprimait Jacques Siclier dans Télérama le 11/11/2003, au sujet du dernier film tourné par Fernandel: Heureux qui comme Ulysse (1970*). Réalisé par Henri Colpi d'après la nouvelle de Marlena Frick, The Homecoming (1964), il a été mis en musique par Georges Delerue. La chanson-titre, souvent attribuée à Georges Brassens par le grand public, est en réalité née de la plume de Colpi, qui se trouve être un ami d'enfance du poète sétois.