C'est aujourd'hui que paraît Georges Brassens - Premières chansons (1942-1949), aux Éditions Le Cherche-Midi. Il s'agit d'un
recueil - élaboré par Jean-Paul Liégeois - des soixante-huit premières chansons de Georges Brassens, présentées dans l’ordre
chronologique où ce dernier les à déposées à la Sacem. En prologue, Un ours tendre, article de quatre pages de Gabriel García Márquez, écrit quelques jours après la disparition de l'auteur des Copains d'abord et paru le 11 novembre 1981 dans le grand quotidien espagnol El País. Claude Richard signe ensuite une introduction intitulée Brassens avant Brassens, qui présente le contenu du livre dont voici la présentation de l’éditeur en quatrième de couverture :
Quand il a démarré sa carrière scénique à Montmartre, dans le cabaret de Patachou le 26 janvier 1952, Georges Brassens écrivait des chansons depuis longtemps. Depuis 1938, l’année de ses 17 ans."On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans", proclamait Arthur Rimbaud. Mais Brassens, lui, sans le dire, a rapidement pris la chanson au sérieux : dès 1942, pour protéger ses textes, il a concouru pour entrer à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et y a été reçu comme parolier.
Entre 1942 et 1949, après les avoir "mises au propre" dans des cahiers à carreaux, il a déposé à la Sacem soixante-huit chansons.
Ce sont ces soixante-huit textes qui sont réunis dans Premières chansons et publiés dans l’ordre où Brassens les a recopiés de sa main.
Si quatre d’entre eux sont passés à la postérité (Maman, Papa; Le bricoleur; Les amoureux qui s’bécott’ sur les bancs publics et J’ai rendez-vous avec vous), Georges Brassens n’a jamais enregistré en studio ni chanté en public les soixante-quatre autres : Personne ne saura jamais, Le bon Dieu est swing, Souviens-toi du beau rêve, Je pleure; etc.
Soixante-quatre chansons de Brassens restées inédites ! Donc à découvrir. Elles contiennent en germe les chefs-d’œuvre qui suivront.
Notons également le CD de six des premières chansons de Georges Brassens (A l'auberge du bon Dieu, Un camp sous la lune, Le ciel en avait assez, Je garde toujours, Reine de bal et Loin des yeux, loin du cœur) interprétées par Yves Uzureau
qui en a réalisé les arrangements. Yves est accompagné par Anne Gouraud à la contrebasse. Ainsi, de(s) mélodies inédites (…) des archives abandonnées sont devenues des chansons vivantes. (Yves Uzureau)
Quand il a démarré sa carrière scénique à Montmartre, dans le cabaret de Patachou le 26 janvier 1952, Georges Brassens écrivait des chansons depuis longtemps. Depuis 1938, l’année de ses 17 ans."On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans", proclamait Arthur Rimbaud. Mais Brassens, lui, sans le dire, a rapidement pris la chanson au sérieux : dès 1942, pour protéger ses textes, il a concouru pour entrer à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et y a été reçu comme parolier.
Entre 1942 et 1949, après les avoir "mises au propre" dans des cahiers à carreaux, il a déposé à la Sacem soixante-huit chansons.
Ce sont ces soixante-huit textes qui sont réunis dans Premières chansons et publiés dans l’ordre où Brassens les a recopiés de sa main.
Si quatre d’entre eux sont passés à la postérité (Maman, Papa; Le bricoleur; Les amoureux qui s’bécott’ sur les bancs publics et J’ai rendez-vous avec vous), Georges Brassens n’a jamais enregistré en studio ni chanté en public les soixante-quatre autres : Personne ne saura jamais, Le bon Dieu est swing, Souviens-toi du beau rêve, Je pleure; etc.
Soixante-quatre chansons de Brassens restées inédites ! Donc à découvrir. Elles contiennent en germe les chefs-d’œuvre qui suivront.
Georges Brassens
Prologue de Gabriel García Márquez
Introduction de Claude Richard
Édition établie par Jean-Paul Liégeois
Collection Brassens d'abord - 192 pp.
- Lire aussi l'article de Michel Kemper sur le site nosenchanteurs.eu: Sur les premières chansons de Brassens -
- Lire aussi l'article de Michel Kemper sur le site nosenchanteurs.eu: Sur les premières chansons de Brassens -
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