Le festival "Saint-Gély a rendez-vous avec Brassens" aura lieu cette année du 7 au 9 novembre en l'auditorium Georges Brassens, Scène en Grand Pic Saint-Loup à Saint-Gély-du-Fesc (34). La programmation de cet automne 2025 débutera avec un spectacle intitulé Brassens dans tous ses états le vendredi 7 novembre, avec Dee Dee Abella (chanteuse style jazz, swing), Ulrike Van Cotthem (soprane lyrique), Nicolas Del Rox musicien aux expériences variées, Benoît Marot (contrebasse) et Bertrand Papy (chant et guitare). Le lendemain à 15H, Brassens par Les trois oncles, avec Eric David (chant, guitare), Bernard Anthérieu (guitare, clarinette) et Patrice Aviet (contrebasse) feront découvrir au public des pépites surprenantes de l’œuvre de Georges Brassens sur des arrangements originaux, et des sentiers de traverse... En soirée, à 20H30, Claire Elzière rendra hommage à Juliette Gréco, Pierre Louki et Allain Leprest. Elle sera accompagné par Dominique Cravic (guitare et ukulélé) et Grégory Veux (piano). Annakim, lauréate du concours Chansons du Pic du festival 2024, assurera la première partie du spectacle.
Musicien amateur et passionné de percussions, Dudu Flexor a créé deux groupes de samba en France. Mais ce n’est qu’en 2019, à 75 ans, qu’il se consacre pleinement à un projet qu’il porte en lui depuis plus de quarante ans: créer un pont musical fictionnel entre Georges Brassens et le Brésil. Cela est aujourd'hui concrétisé par un album qui propose un carnet de voyage immersif de treize chansons du troubadour sétois à travers l'incroyable univers rythmique de différentes régions brésiliennes.
Vous pourrez découvrir Brassens Brasil à l'occasion d'un concert de lancement ce jeudi 9 octobre 2025 au Bistrot Club Les 2 Pianos (Paris 15e) à 20H30 !
Informations utiles:
Royal Boui Boui
Chemin des Deux Rivières
77260 La Ferté-sous-Jouarre
Tél : 01 60 22 25 63
Retrouvez le spectacle de Banc Public également sur sortirenpaysdebrie.com !
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Si les quatre premiers mois de l’année 1960 furent fastes pour l’Olympia, il n’en fut pas de même pour la suite. En effet, des mauvais choix de programmation et autres aléas finirent par provoquer des difficultés financières pour l’établissement. Paulette Coquatrix et Jean-Michel Boris nous donnent plus de détails, respectivement dans Les coulisses de ma mémoire (1984) et Olympia Bruno Coquatrix - 50 ans de music-hall (2003). Tout d’abord, la "Revue Nègre" programmée en mai 1960 se révéla être un échec au bout d’une semaine. Suite plausible au spectacle de Joséphine Baker, à savoir la revue "Paris mes amours", à l’affiche du 12/05/1959 au 18/01/1960, il ne fonctionna pas sans celle qui incarna la princesse Tam-Tam dans Moulin-Rouge, film d’Yves Mirande et André Hugon arrivé sur les écrans français le 15/01/1941. Cette dernière fut donc rappelée pour une nouvelle mouture de "Paris mes amours" programmée en juin-juillet-août 1960. Ceci permit à Bruno Coquatrix de limiter les pertes de trésorerie. Puis vient le tour de Gilbert Bécaud de s’installer sur la scène du 28, boulevard des Capucines. Prévu pour trois ou quatre semaines, il ne resta que du 21/09 au 01/10, ayant un agenda chargé par un grand nombre de dates en province. "Monsieur 100 000 volts" fut alors remplacé par François Deguelt qui connût un succès moindre. Par la suite, le spectacle de Petula Clark à l’affiche en novembre ainsi que le Radio Circus emmené par Roger Lanzac, furent eux aussi des échecs. Le second, qui mêlait cirque traditionnel et enregistrements radiophoniques (dont le Jeu des mille nouveaux francs), eut un succès bon enfant en province, mais pas à Paris, la concurrence artistique y étant trop forte. Programmé du 01/12 au 14/12, le spectacle fut arrêté le 04/12.
Auteure, compositrice et interprète, Louise O’sman fait partie de cette famille d'artistes constamment sur la route. Héritière des auteurs-compositeurs-interprètes de la chanson française tels Jacques Brel, Barbara, Anne Sylvestre, Jean Ferrat, Allain Leprest ou Georges Brassens, elle n’hésite pas à développer un univers esthétique et poétique autour de son rapport au monde en s’ouvrant musicalement vers le jazz, parfois même le rock et la pop. Dans le cadre d’un premier projet original intitulé No Man’s Louise, elle réalise elle-même en juin 2015 une première maquette intitulée Que le printemps revienne et qui lui vaudra le prix studio du tremplin des Amoureux de la Scène au Théâtre du Chien qui Fume à Avignon (84) en mai de l’année suivante. Ainsi, Louise peut-elle faire paraître son premier super 45T: Les Enfants de la Plaine (2017). Puis, évoluant vers son alter-solo sous le nom de Louise O’sman, elle créé deux albums dont les titres respectifs sont Joyeuse Ville (2018) et L'heure d'été (2024), amplement plébiscités.
Accompagnés par Jean-Marie Pot à la Contrebasse, Richard Daumas alias Masdau et Gérard André chantent Georges Brassens dans tous ses états ! Un spectacle original qui aura lieu à Étais-La-Sauvin (89), au Théâtre rural de la Closerie les 09 et 10 août prochains ! Ne manquez pas ces bon moments musicaux assurés !
Informations utiles:
Théâtre rural de la Closerie
17, Route de Clamecy
89480 Étais-La-Sauvin
Tél : 03 86 47 28 16
Elle passera par le Gard (30), l'Ardèche (07) et l'Hérault (34). Peut-être y serez-vous, peut-être suggérerez-vous à des amis, de la famille, de venir écouter Laurent et son groupe ! Banc Public sera au grand complet pour chanter Georges Brassens, Boby Lapointe et Pierre Mac Orlan. Les 24 ans du groupe y seront amplement fêtés ! Voici les quatre dates à ne pas manquer :
- Mercredi 23 juillet: dîner-concert à St-Martin-de-Londres (34) ;
- Jeudi 24 juillet: concert privé chez Jean Cubaud, à Nîmes (30), à 19H ;
- Vendredi 25 juillet: concert à la Ferme-Théâtre de Lablachère (07) ;
- Dimanche 27 juillet: concert à Vézénobres (30), sur la terrasse en contrebas de la Maison de la Figue, à 21H.
Au-delà du concert, Brassens à Georges Déployé ! est une immersion dans l’univers du troubadour sétois. Des projections d’images, des extraits audio de Brassens et un fil narratif viennent replacer ses chansons dans leur époque et révéler la philosophie de vie de cet artiste inclassable.
Fidèle du Festival Sœurs Jumelles à Rochefort (17), Benjamin Biolay avait déjà répondu présent en 2023 pour un concert sur la Grande Scène de la
Corderie Royale qui a marqué les esprits. Il revient cette année
pour une carte blanche au Théâtre de la Coupe d'Or. Pour
l'occasion, il a choisi de raconter et de parler de la
carrière et de l’œuvre de Georges Brassens. Entrez avec lui dans une exploration
intime et profonde de l'œuvre de l'un des plus grands auteurs-compositeurs-interprètes français ! Cette rencontre artistique, intitulée Benjamin Biolay parle de Brassens, aura lieu le vendredi 27 juin prochain.
À noter que Benjamin Biolay sera également le parrain des 38èmes Journées Georges Brassens (Paris 15e) qui se tiendront les 04 et 05 octobre 2025 !
C’est dans le N°39 de la revue Music-Hall, paru en avril 1958, qu’est relatée la soirée du 20 février de la même année, au cours de laquelle Gloria Lasso et Georges Brassens reçurent les Bravos de Music-Hall 1957 sur la Scène de l'Olympia devant 2000 spectateurs, à l’occasion d’un Musicorama, spectacle musical organisé et retransmis par Europe N°1, soit en direct, soit en différé, en partie ou dans son intégralité. La programmation musicale est assurée par Bruno Coquatrix, Lucien Morisse et Pierre Delanoë, alors directeur des programmes d’Europe N°1 (poste qu’il occupera jusqu’en 1960).
Plus de 20000 lecteurs de Music-Hall ont participé au vote pour désigner la chanteuse et le chanteur les plus populaires de l'année, faisant de Gloria et Georges les successeurs d’Édith Piaf et Gilbert Bécaud (lauréats en 1955) puis de Jacqueline François et Charles Aznavour (lauréats en 1956). Les deux mains de bronze leur sont remises par Roger Duquesne, éminent comme meneur de jeux d’Europe N°1, sous les applaudissements de la salle comble du music-hall de Bruno Coquatrix. S’ensuit un bref entretien avec Félix Vitry, directeur général de la revue, mensuelle (parution le 5 de chaque mois) à cette époque. Anecdote intéressante, le compte-rendu publié en avril 1958, richement illustré de photos, met en lumière Colette Renard et René-Louis Lafforgue (qui fait d’ailleurs la couverture de ce N°39), artistes montants arrivés respectivement 8e et 5e du classement.
La chronique de Bertrand Dicale, en ligne sur le site de Joel > https://joelfavreau.com/agenda/joel-favreau-fait-des-siennes-a-lire/
Cette année, le, festival organisé par l'association Les Z'enfants de Brassens à Vaison-la-Romaine (84) se tiendra du 26 avril au 1er mai au Hameau des Oliviers (Village Vacances Léo Lagrange) pour un
programme d'une grande richesse et que vous pouvez retrouver ici. 
Informations utiles:
Salle des Fêtes
5, Rue Paul Claudel
02130 Fère-en-Tardenois
Réservation au 03.23.82.20.44
Artiste plurielle on ne peut plus charismatique, Lise Cabaret est à la fois auteure-compositrice-interprète et multi-instrumentiste dont la personnalité l’univers sont profondément ancrés dans le courant rock. Son élégance est sa forte présence scénique amènent Serge Sciboz (chroniqueur sur le site Paris Move) à la rapprocher de Chrissie Hynde, du groupe de rock anglo-américain The Pretenders. Sa discographie compte déjà quatre albums: Live à la Menuiserie de Pantin (2016), L’Ailleurs (2018), Délirium passionnel (2021) et La vie est belle il faudra qu’on s’y fasse (2024). Tout en travaillant à son prochain opus, Lise propose également un spectacle en trois actes avec Sanseverino, offrant un mélange harmonieux de performances solo de chacun d’eux avant une troisième partie en duo sur un répertoire poétique, drôle et engagé. Un super 45T est prévu pour le mois d'octobre de cette année !
Patachou – Chante à L'Olympia (4e Série) (Philips N 76.050 R) est arrivé dans les bacs courant mai 1955. La pochette est illustrée au moyen d’une série de photographies de Serge Berton. Celles-ci montrent Patachou sur la scène du music-hall du 28, boulevard des Capucines. Sept clichés noir et blanc ont été montés en une galerie utilisée pour être insérée sous un dessin représentant une scène colorée en jaune et derrière laquelle se trouve un rideau bleu foncé. Placé dans le coin en haut à droite et surmonté d’une photo sur laquelle l’Orchestre de l'Olympia apparaît en partie, le titre de l’album, mettant en avant le nom de l’artiste imprimé en lettres capitales jaunes de grande taille. On remarquera que le nom de la salle de Bruno Coquatrix apparaît selon la charte graphique de ses affiches et de ses programmes de l’époque. Dans le coin en haut à droite figure le numéro de référence du disque: N 76.050 R. Par-dessus l’ensemble, placé dans le coin bas-gauche, un célèbre portait de Patachou signé James J. Kriegsman qui orne également un certain nombre de pochettes de ses 45T. Enfin, dans le coin en bas à droite, les logos 'Philips' et 'Philips Minigroove 331/3', ainsi que la mention 'MICROSILLON MEDIUM'. Le long de la tranche droite, deux autres mentions: 'Fabriqué en France' ainsi que les crédits 'Photos Kriegsman/Berton'. Ce 33T 25 cm a connu trois moutures principales.
Le 01/01/1955, Charles Michelson et Louis Merlin lancent Europe No1, qui émet depuis la Sarre (Saarland), près de Sarrelouis (Saarlouis), sur le plateau du Felsberg, en Allemagne. La première émission, expérimentale, est diffusée à 6H30 (dans C'était formidable ! Tome II: mémoires 1940-1957 (1966), Louis Merlin indique 7H) et débute avec un "Bonjour l'Europe !" dit par Micheline Francey. On peut y écouter une chanson de Gilbert Bécaud. Mais une interruption intervient trente minutes plus tard car la toute nouvelle radio perturbe d'autres émetteurs, notamment le radiophare de l'aéroport de Genève. Durant les jours suivants, Europe No1 change plusieurs fois de fréquence, brouillant l'émission d'autres stations européennes qui protestent. Ces difficultés font connaître la station auprès du grand public via la presse écrite qui y consacre de nombreux articles.
Brassens à Alger mettra l'ambiance dans la Salle de la Gerbe le samedi 15 mars prochain à 20H30 !
Réservation obligatoire:
reservationbrassens@ville-sete.fr
Nous sommes en 1950. Paris compte quelques quatre cents cinémas, dont une quarantaine de salles d’exclusivités principalement sur les Champs-Élysées et les Grands Boulevards. La décennie qui commence sera l’Âge d’or de ces salles parisiennes qui font le bonheur des spectateurs en proposant des films d’aventures, des westerns, des policiers mais également des comédies et des romances en tous genres. La première française d’Autant en emporte le vent, de Victor Flemming, a lieu le 29/12/1950 au Grand Rex, fondé par le producteur Jacques Haïk et inauguré le 08/12/1932. Durant la séance, le projectionniste joue avec son objectif pour agrandir l'image de quelques mètres durant les scènes d'incendie. Les spectateurs de la mythique salle dirigée à l’époque par Jean Hellmann vont alors figurer dans les premiers à découvrir le CinémaScope. Les grands acteurs et grandes actrices françaises du moment sont également ovationnés et figurent sur les affiches des nombreuses salles de quartier. On peut ainsi aller voir La Marie du port, de Marcel Carné d’après le roman éponyme de Georges Simenon prépublié en feuilleton dans le quotidien Le Jour du 15/01 au 06/02/1938, avant d’être disponible en librairie dans les mois qui suivirent. Le succès du film arrivé sur les écrans le 18/02/1950 contribuera au retour au succès public de Jean Gabin qui deviendra le patriarche du cinéma français. Citons également la troisième adaptation – cette fois-ci avec Fernandel dans le rôle principal – de Topaze, de Marcel Pagnol, sur les écrans le 02/02/1951.
De la musique trad, d'Irlande... et d'ailleurs. C'est Moyvane, qui égayera le foyer rural de Luzancy (77) au son des flûtes, du piano, de la guitare, de la mandole, des percussions et bien sûr des voix des artistes le dimanche 26 janvier à 15H !
Sans oublier Banc Public avec sa solide expérience et sa redoutable bonne humeur au service de ces deux auteurs mythiques que sont Georges Brassens et Boby Lapointe. Et c'est dans le cadre des Dimanches artistiques de Voulangis que vous les retrouverez le dimanche 2 février à 15H à Salle des Fêtes de la petite commune seine-et-marnaise (où l'on n'a encore jamais croisé Cupidon, pas plus que le Gorille) qui servit de lieu de tournage pour le film de Bruno Podalydès Adieu Berthe – L'Enterrement de Mémé (2012).
